إيزوران أومازيغ

“C’était ma mère”, est un recueil que la poétesse consacre entièrement à la mémoire de feu sa mère, cette dame qui n’était pas ordinaire et qui, pour élever ses enfants, avait énormément souffert.

Ce recueil composé de 41 Poèmes s’inscrit dans le cadre de la poésie de résistance.
Ici, le poète décrit le quotidien palestinien dont la mort est devenue une ombre dont il ne peut se défaire.
En effet, le palestinien dort sur le même lit avec la mort,
Prend son petit-déjeuner avec la mort, va au travail, à l’école
Et même fait l’amour avec la mort.
La mort n’est plus, ce monstre qui fait peur.
Le palestinien l’a, domptée en faisant d’elle une compagnie de route.

Tout comme son titre l’indique, ce recueil né de l’amour est dédié à son symbole universel, la Femme, source de l’inspiration de toute poésie et de toute sagesse,

“… continent de passion…

Dont seul le premier amour

A gravi les tours.”

Philosophe et poète, qui sait célébrer la quintessence de la création mieux que Brahim Bourchachene?